Jadis le village fut prospère, avec ses nombreuses tanneries, ses moulins, ses mines de phosphates, ses rouliers, ses mariniers gabariers, ses ateliers artisanaux dont on voit encore quelques « obradors » (fenêtres de l'ouvroir ou ouvreur ou « l'obrador » dans le Sud-Ouest - arcades en plein cintre ou en ogives du rez-de-chaussée décorées de chevrons brisés).

Au bord du Lot, le port, où régnait une intense activité au 19ème siècle, voyait partir vers Cahors de nombreuses gabares chargées de phosphates, de vin ou de bois.